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Argumenter, c’est choisir et utiliser des preuves, des arguments pour convaincre l’interlocuteur d’adapter ce que l’on soutient.
Le texte argumentatif défend une prise de position en s’opposant implicitement ou explicitement à ceux qui pensent le contraire.

 SES fonctions:

Le texte argumentatif a deux fonctions dominantes :
La fonction persuasive :lorsque l’émetteur cherche à convaincre le lecteur, à lui faire partager son point de vue, en faisant appel à ses sentiments (persuader) , ou à sa raison (convaincre)
La fonction polémique : lorsque l’objectif premier de l’émetteur est de ridiculiser celui ou ceux avec lesquels il n’est pas d’accord.

 L’organisation logique du texte argumentatif :

On s’interroge sur la thèse défendue, sur les arguments utilisés à l’appui de cette thèse défendue, ou contre- arguments développés pour la réfuter, et enfin sur les exemples qui viennent illustrer cette argumentation.
a) La thèse :
La thèse peut être formulée dans le texte mais peut aussi être implicite, mais elle doit être formulée clairement. De la même manière, la thèse qui est rejetée est parfois implicite. Exemple : le texte non polémique.
b) Les arguments :
Le nombre d’arguments varie, parfois il y en a qu’un qui est développé. Ces arguments peuvent être présentés sous des formes différentes : accumulation, enchaînement logique… des connecteurs logiques viennent souligner ce que les relie afin de rendre cohérents ces arguments.
c) Les exemples :
Les exemples ont souvent une fonction illustrative. Ile tentent de rendre l’argumentation plus concrète. De temps en temps l’argument est implicite, il dit être déduit de l’exemple.

 La situation d’énonciation :

Qui parle ? A qui ? De quelle manière ?
a. L’énonciateur :
Il faut trouver comment se désigne le locuteur dans le texte : emploi du pronom « je », « nous », ou indéfini « on ».
Il faut s’interroger sur son utilisation de la forme personnelle ou impersonnelle afin de déterminer le degré d’implication du locuteur dans son énoncé. Constater s’il donne uniquement un point de vue personnel ou bien universel ou s’il cherche à y son destinataire.
b. Le destinataire :
A qui s’adresse le locuteur ? Il faut regarder s’il s’agit de quelqu’un en particulier ou d’un public.
On observe alors de quelle manière l’auteur s’adresse lui (ou à eux) et comment il (les) désigne : interpellation, utilisation de pronoms personnels de 2éme personne…
c. L’attitude adoptée par l’auteur :
On s’interroge sur l’emploi des pronoms, le lexique et les procédés rhétoriques qui permettent de définir l’attitude adoptée par l’auteur. Les termes employés peuvent être doux ou désagréables, affectifs ou agressif…de ces termes on peut déduire les sentiments et la position du locuteur, l’utilisation d’un ton neutre ou didactique témoigne de l’objectivité et de la volonté d’expliquer ou d’informer. Le ton polémique, ironique, satirique ou oratoire marque d’avantage la subjectivité.

 La démarche du texte argumentatif :

1. S’impliquer dans son discours :
Le principe de l’argumentation réside dans la conviction de son auteur qui revendique des idées exprimées, notamment à travers :
-Le système d’énonciation :
On recourt fréquemment à la première personne, indice de la présence du locuteur dans la phrase et des propos tenus.
Le locuteur peut se manifester (utilisation de la première et la deuxième personne et présence de marques de jugement), ou pas (utilisation de la troisième personne et des phrases déclaratives).
-Le choix du lexique comme indicateur de degré de certitude :
L’affirmation catégorique (pas de doute possible), on emploie des termes comme « assurément », « sans aucun doute », « il est possible que », …
L’hésitation qui semble chercher à ne pas contraindre le lecteur, on emploie des termes comme « peut-être », « il est possible que », …
L’utilisation d’un lexique affectif par lequel le locuteur cherche à capter la sympathie ou l’estime de son public, il utilise pour cela un réseau de termes propre à manifester son émotion, sa sincérité et son attachement à la thèse exposée.
2. S’adapter au destinataire :
Dans le texte argumentatif, le souci de l’auteur est de chercher à convaincre, il doit alors connaître son destinataire et disposer son argumentation en fonction de ce qu’il sait de son caractère.
Le choix de la méthode et celui des arguments dépendront de l’esprit et des sentiments du destinataire à convaincre, pour plaire et raisonner, on suscite l’intérêt du lecteur par l’exposition de la pensée avec des appuis incontestables, et pour cela on utilise :
La métaphore : qui est un véritable outil de persuasion.
L’exemple : qui ide à la compréhension en fournissant une mise en scène de l’idée, et qui peut avoir aussi une valeur de preuve.
La meilleure façon aussi de toucher au destinataire de l’argumentation est de le faire participer à la découverte de la vérité dont on veut le convaincre.
3. Réfuter l’adversaire :
Vouloir persuader de la vérité de son discours, c’est souvent du même coup contester le discours d’un autre.

 La stratégie argumentative :

 Soit tous les arguments et les raisonnements présentés sont en faveur de la thèse soutenue par locuteur (ex : plaidoyer, apologie). Dans ce cas, la thèse prend est placée en tête du raisonnement et reprise en conclusion.
 Soit la thèse est prise dans une controverse dialoguée (discussion, débat). Dans ce cas, l’exposé de la thèse prend en compte la thèse opposée. On peut alors :
-réfuter les arguments de la thèse opposée en montrant qu’ils ne sont pas pertinents ou trop faibles.
-objecter/opposer à l’adversaire un contre argument qui l’invalide ou retourner l’argument contre lui.
-jouer la concession (donner raison puis rejeter la thèse adverse avec plus de vigueur).
 Soit on vise à disqualifier l’adversaire, à polémiquer. On peut alors :
-raisonner par l’absurde en envisageant les absurdités qui s’ensuivraient si on admettait la thèse adverse.
-enfermer la thèse dans un choix impossible (dilemme).
-utiliser l’ironie pour feindre d’adopter l’opinion de l’autre pour mieux la détruire en la ridiculisant.

 Les différents types d’arguments :

L’analogie :
On compare deux faits, deux situations à d’autres qu’on connaît bien, pour assurer une bonne explication.
L’autorité :
On se réfère à une autorité scientifique, politique, morale, …
La généralisation :
A partir d’un ou deux exemples, on généralise la situation.
La cause :
On n’arrive souvent pas à bien comprendre une situation que lorsqu’on découvre ce qui l’a provoqué.
L’argumentation s’attachera à prouver la cause, ou à prouver que tel effet se produira.
Le dilemme :
Enfermer quelqu’un dans un dilemme, c’est lui prouver que les deux solutions qu’il peut imaginer sont inacceptables, on profite lors de son désarroi pour lui présenter une troisième solution, seule issue à la situation.

 Genres de textes contenant de l’argumentation :

Les textes contenant de l’argumentation sont souvent les textes de :
Publicité, critique de films, de livres, d’œuvres d’art, éditorial, plaidoyer, dissertation, …


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Le texte argumentatif défend une prise de position en s’opposant implicitement ou explicitement à ceux qui pensent le contraire.

 SES fonctions:

Le texte argumentatif a deux fonctions dominantes :
La fonction persuasive :lorsque l’émetteur cherche à convaincre le lecteur, à lui faire partager son point de vue, en faisant appel à ses sentiments (persuader) , ou à sa raison (convaincre)
La fonction polémique : lorsque l’objectif premier de l’émetteur est de ridiculiser celui ou ceux avec lesquels il n’est pas d’accord.

 L’organisation logique du texte argumentatif :

On s’interroge sur la thèse défendue, sur les arguments utilisés à l’appui de cette thèse défendue, ou contre- arguments développés pour la réfuter, et enfin sur les exemples qui viennent illustrer cette argumentation.
a) La thèse :
La thèse peut être formulée dans le texte mais peut aussi être implicite, mais elle doit être formulée clairement. De la même manière, la thèse qui est rejetée est parfois implicite. Exemple : le texte non polémique.
b) Les arguments :
Le nombre d’arguments varie, parfois il y en a qu’un qui est développé. Ces arguments peuvent être présentés sous des formes différentes : accumulation, enchaînement logique… des connecteurs logiques viennent souligner ce que les relie afin de rendre cohérents ces arguments.
c) Les exemples :
Les exemples ont souvent une fonction illustrative. Ile tentent de rendre l’argumentation plus concrète. De temps en temps l’argument est implicite, il dit être déduit de l’exemple.

 La situation d’énonciation :

Qui parle ? A qui ? De quelle manière ?
a. L’énonciateur :
Il faut trouver comment se désigne le locuteur dans le texte : emploi du pronom « je », « nous », ou indéfini « on ».
Il faut s’interroger sur son utilisation de la forme personnelle ou impersonnelle afin de déterminer le degré d’implication du locuteur dans son énoncé. Constater s’il donne uniquement un point de vue personnel ou bien universel ou s’il cherche à y son destinataire.
b. Le destinataire :
A qui s’adresse le locuteur ? Il faut regarder s’il s’agit de quelqu’un en particulier ou d’un public.
On observe alors de quelle manière l’auteur s’adresse lui (ou à eux) et comment il (les) désigne : interpellation, utilisation de pronoms personnels de 2éme personne…
c. L’attitude adoptée par l’auteur :
On s’interroge sur l’emploi des pronoms, le lexique et les procédés rhétoriques qui permettent de définir l’attitude adoptée par l’auteur. Les termes employés peuvent être doux ou désagréables, affectifs ou agressif…de ces termes on peut déduire les sentiments et la position du locuteur, l’utilisation d’un ton neutre ou didactique témoigne de l’objectivité et de la volonté d’expliquer ou d’informer. Le ton polémique, ironique, satirique ou oratoire marque d’avantage la subjectivité.

 La démarche du texte argumentatif :

1. S’impliquer dans son discours :
Le principe de l’argumentation réside dans la conviction de son auteur qui revendique des idées exprimées, notamment à travers :
-Le système d’énonciation :
On recourt fréquemment à la première personne, indice de la présence du locuteur dans la phrase et des propos tenus.
Le locuteur peut se manifester (utilisation de la première et la deuxième personne et présence de marques de jugement), ou pas (utilisation de la troisième personne et des phrases déclaratives).
-Le choix du lexique comme indicateur de degré de certitude :
L’affirmation catégorique (pas de doute possible), on emploie des termes comme « assurément », « sans aucun doute », « il est possible que », …
L’hésitation qui semble chercher à ne pas contraindre le lecteur, on emploie des termes comme « peut-être », « il est possible que », …
L’utilisation d’un lexique affectif par lequel le locuteur cherche à capter la sympathie ou l’estime de son public, il utilise pour cela un réseau de termes propre à manifester son émotion, sa sincérité et son attachement à la thèse exposée.
2. S’adapter au destinataire :
Dans le texte argumentatif, le souci de l’auteur est de chercher à convaincre, il doit alors connaître son destinataire et disposer son argumentation en fonction de ce qu’il sait de son caractère.
Le choix de la méthode et celui des arguments dépendront de l’esprit et des sentiments du destinataire à convaincre, pour plaire et raisonner, on suscite l’intérêt du lecteur par l’exposition de la pensée avec des appuis incontestables, et pour cela on utilise :
La métaphore : qui est un véritable outil de persuasion.
L’exemple : qui ide à la compréhension en fournissant une mise en scène de l’idée, et qui peut avoir aussi une valeur de preuve.
La meilleure façon aussi de toucher au destinataire de l’argumentation est de le faire participer à la découverte de la vérité dont on veut le convaincre.
3. Réfuter l’adversaire :
Vouloir persuader de la vérité de son discours, c’est souvent du même coup contester le discours d’un autre.

 La stratégie argumentative :

 Soit tous les arguments et les raisonnements présentés sont en faveur de la thèse soutenue par locuteur (ex : plaidoyer, apologie). Dans ce cas, la thèse prend est placée en tête du raisonnement et reprise en conclusion.
 Soit la thèse est prise dans une controverse dialoguée (discussion, débat). Dans ce cas, l’exposé de la thèse prend en compte la thèse opposée. On peut alors :
-réfuter les arguments de la thèse opposée en montrant qu’ils ne sont pas pertinents ou trop faibles.
-objecter/opposer à l’adversaire un contre argument qui l’invalide ou retourner l’argument contre lui.
-jouer la concession (donner raison puis rejeter la thèse adverse avec plus de vigueur).
 Soit on vise à disqualifier l’adversaire, à polémiquer. On peut alors :
-raisonner par l’absurde en envisageant les absurdités qui s’ensuivraient si on admettait la thèse adverse.
-enfermer la thèse dans un choix impossible (dilemme).
-utiliser l’ironie pour feindre d’adopter l’opinion de l’autre pour mieux la détruire en la ridiculisant.

 Les différents types d’arguments :

L’analogie :
On compare deux faits, deux situations à d’autres qu’on connaît bien, pour assurer une bonne explication.
L’autorité :
On se réfère à une autorité scientifique, politique, morale, …
La généralisation :
A partir d’un ou deux exemples, on généralise la situation.
La cause :
On n’arrive souvent pas à bien comprendre une situation que lorsqu’on découvre ce qui l’a provoqué.
L’argumentation s’attachera à prouver la cause, ou à prouver que tel effet se produira.
Le dilemme :
Enfermer quelqu’un dans un dilemme, c’est lui prouver que les deux solutions qu’il peut imaginer sont inacceptables, on profite lors de son désarroi pour lui présenter une troisième solution, seule issue à la situation.

 Genres de textes contenant de l’argumentation :

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Le texte argumentatif défend une prise de position en s’opposant implicitement ou explicitement à ceux qui pensent le contraire.

 SES fonctions:

Le texte argumentatif a deux fonctions dominantes :
La fonction persuasive :lorsque l’émetteur cherche à convaincre le lecteur, à lui faire partager son point de vue, en faisant appel à ses sentiments (persuader) , ou à sa raison (convaincre)
La fonction polémique : lorsque l’objectif premier de l’émetteur est de ridiculiser celui ou ceux avec lesquels il n’est pas d’accord.

 L’organisation logique du texte argumentatif :

On s’interroge sur la thèse défendue, sur les arguments utilisés à l’appui de cette thèse défendue, ou contre- arguments développés pour la réfuter, et enfin sur les exemples qui viennent illustrer cette argumentation.
a) La thèse :
La thèse peut être formulée dans le texte mais peut aussi être implicite, mais elle doit être formulée clairement. De la même manière, la thèse qui est rejetée est parfois implicite. Exemple : le texte non polémique.
b) Les arguments :
Le nombre d’arguments varie, parfois il y en a qu’un qui est développé. Ces arguments peuvent être présentés sous des formes différentes : accumulation, enchaînement logique… des connecteurs logiques viennent souligner ce que les relie afin de rendre cohérents ces arguments.
c) Les exemples :
Les exemples ont souvent une fonction illustrative. Ile tentent de rendre l’argumentation plus concrète. De temps en temps l’argument est implicite, il dit être déduit de l’exemple.

 La situation d’énonciation :

Qui parle ? A qui ? De quelle manière ?
a. L’énonciateur :
Il faut trouver comment se désigne le locuteur dans le texte : emploi du pronom « je », « nous », ou indéfini « on ».
Il faut s’interroger sur son utilisation de la forme personnelle ou impersonnelle afin de déterminer le degré d’implication du locuteur dans son énoncé. Constater s’il donne uniquement un point de vue personnel ou bien universel ou s’il cherche à y son destinataire.
b. Le destinataire :
A qui s’adresse le locuteur ? Il faut regarder s’il s’agit de quelqu’un en particulier ou d’un public.
On observe alors de quelle manière l’auteur s’adresse lui (ou à eux) et comment il (les) désigne : interpellation, utilisation de pronoms personnels de 2éme personne…
c. L’attitude adoptée par l’auteur :
On s’interroge sur l’emploi des pronoms, le lexique et les procédés rhétoriques qui permettent de définir l’attitude adoptée par l’auteur. Les termes employés peuvent être doux ou désagréables, affectifs ou agressif…de ces termes on peut déduire les sentiments et la position du locuteur, l’utilisation d’un ton neutre ou didactique témoigne de l’objectivité et de la volonté d’expliquer ou d’informer. Le ton polémique, ironique, satirique ou oratoire marque d’avantage la subjectivité.

 La démarche du texte argumentatif :

1. S’impliquer dans son discours :
Le principe de l’argumentation réside dans la conviction de son auteur qui revendique des idées exprimées, notamment à travers :
-Le système d’énonciation :
On recourt fréquemment à la première personne, indice de la présence du locuteur dans la phrase et des propos tenus.
Le locuteur peut se manifester (utilisation de la première et la deuxième personne et présence de marques de jugement), ou pas (utilisation de la troisième personne et des phrases déclaratives).
-Le choix du lexique comme indicateur de degré de certitude :
L’affirmation catégorique (pas de doute possible), on emploie des termes comme « assurément », « sans aucun doute », « il est possible que », …
L’hésitation qui semble chercher à ne pas contraindre le lecteur, on emploie des termes comme « peut-être », « il est possible que », …
L’utilisation d’un lexique affectif par lequel le locuteur cherche à capter la sympathie ou l’estime de son public, il utilise pour cela un réseau de termes propre à manifester son émotion, sa sincérité et son attachement à la thèse exposée.
2. S’adapter au destinataire :
Dans le texte argumentatif, le souci de l’auteur est de chercher à convaincre, il doit alors connaître son destinataire et disposer son argumentation en fonction de ce qu’il sait de son caractère.
Le choix de la méthode et celui des arguments dépendront de l’esprit et des sentiments du destinataire à convaincre, pour plaire et raisonner, on suscite l’intérêt du lecteur par l’exposition de la pensée avec des appuis incontestables, et pour cela on utilise :
La métaphore : qui est un véritable outil de persuasion.
L’exemple : qui ide à la compréhension en fournissant une mise en scène de l’idée, et qui peut avoir aussi une valeur de preuve.
La meilleure façon aussi de toucher au destinataire de l’argumentation est de le faire participer à la découverte de la vérité dont on veut le convaincre.
3. Réfuter l’adversaire :
Vouloir persuader de la vérité de son discours, c’est souvent du même coup contester le discours d’un autre.

 La stratégie argumentative :

 Soit tous les arguments et les raisonnements présentés sont en faveur de la thèse soutenue par locuteur (ex : plaidoyer, apologie). Dans ce cas, la thèse prend est placée en tête du raisonnement et reprise en conclusion.
 Soit la thèse est prise dans une controverse dialoguée (discussion, débat). Dans ce cas, l’exposé de la thèse prend en compte la thèse opposée. On peut alors :
-réfuter les arguments de la thèse opposée en montrant qu’ils ne sont pas pertinents ou trop faibles.
-objecter/opposer à l’adversaire un contre argument qui l’invalide ou retourner l’argument contre lui.
-jouer la concession (donner raison puis rejeter la thèse adverse avec plus de vigueur).
 Soit on vise à disqualifier l’adversaire, à polémiquer. On peut alors :
-raisonner par l’absurde en envisageant les absurdités qui s’ensuivraient si on admettait la thèse adverse.
-enfermer la thèse dans un choix impossible (dilemme).
-utiliser l’ironie pour feindre d’adopter l’opinion de l’autre pour mieux la détruire en la ridiculisant.

 Les différents types d’arguments :

L’analogie :
On compare deux faits, deux situations à d’autres qu’on connaît bien, pour assurer une bonne explication.
L’autorité :
On se réfère à une autorité scientifique, politique, morale, …
La généralisation :
A partir d’un ou deux exemples, on généralise la situation.
La cause :
On n’arrive souvent pas à bien comprendre une situation que lorsqu’on découvre ce qui l’a provoqué.
L’argumentation s’attachera à prouver la cause, ou à prouver que tel effet se produira.
Le dilemme :
Enfermer quelqu’un dans un dilemme, c’est lui prouver que les deux solutions qu’il peut imaginer sont inacceptables, on profite lors de son désarroi pour lui présenter une troisième solution, seule issue à la situation.

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 SES fonctions:

Le texte argumentatif a deux fonctions dominantes :
La fonction persuasive :lorsque l’émetteur cherche à convaincre le lecteur, à lui faire partager son point de vue, en faisant appel à ses sentiments (persuader) , ou à sa raison (convaincre)
La fonction polémique : lorsque l’objectif premier de l’émetteur est de ridiculiser celui ou ceux avec lesquels il n’est pas d’accord.

 L’organisation logique du texte argumentatif :

On s’interroge sur la thèse défendue, sur les arguments utilisés à l’appui de cette thèse défendue, ou contre- arguments développés pour la réfuter, et enfin sur les exemples qui viennent illustrer cette argumentation.
a) La thèse :
La thèse peut être formulée dans le texte mais peut aussi être implicite, mais elle doit être formulée clairement. De la même manière, la thèse qui est rejetée est parfois implicite. Exemple : le texte non polémique.
b) Les arguments :
Le nombre d’arguments varie, parfois il y en a qu’un qui est développé. Ces arguments peuvent être présentés sous des formes différentes : accumulation, enchaînement logique… des connecteurs logiques viennent souligner ce que les relie afin de rendre cohérents ces arguments.
c) Les exemples :
Les exemples ont souvent une fonction illustrative. Ile tentent de rendre l’argumentation plus concrète. De temps en temps l’argument est implicite, il dit être déduit de l’exemple.

 La situation d’énonciation :

Qui parle ? A qui ? De quelle manière ?
a. L’énonciateur :
Il faut trouver comment se désigne le locuteur dans le texte : emploi du pronom « je », « nous », ou indéfini « on ».
Il faut s’interroger sur son utilisation de la forme personnelle ou impersonnelle afin de déterminer le degré d’implication du locuteur dans son énoncé. Constater s’il donne uniquement un point de vue personnel ou bien universel ou s’il cherche à y son destinataire.
b. Le destinataire :
A qui s’adresse le locuteur ? Il faut regarder s’il s’agit de quelqu’un en particulier ou d’un public.
On observe alors de quelle manière l’auteur s’adresse lui (ou à eux) et comment il (les) désigne : interpellation, utilisation de pronoms personnels de 2éme personne…
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 La démarche du texte argumentatif :

1. S’impliquer dans son discours :
Le principe de l’argumentation réside dans la conviction de son auteur qui revendique des idées exprimées, notamment à travers :
-Le système d’énonciation :
On recourt fréquemment à la première personne, indice de la présence du locuteur dans la phrase et des propos tenus.
Le locuteur peut se manifester (utilisation de la première et la deuxième personne et présence de marques de jugement), ou pas (utilisation de la troisième personne et des phrases déclaratives).
-Le choix du lexique comme indicateur de degré de certitude :
L’affirmation catégorique (pas de doute possible), on emploie des termes comme « assurément », « sans aucun doute », « il est possible que », …
L’hésitation qui semble chercher à ne pas contraindre le lecteur, on emploie des termes comme « peut-être », « il est possible que », …
L’utilisation d’un lexique affectif par lequel le locuteur cherche à capter la sympathie ou l’estime de son public, il utilise pour cela un réseau de termes propre à manifester son émotion, sa sincérité et son attachement à la thèse exposée.
2. S’adapter au destinataire :
Dans le texte argumentatif, le souci de l’auteur est de chercher à convaincre, il doit alors connaître son destinataire et disposer son argumentation en fonction de ce qu’il sait de son caractère.
Le choix de la méthode et celui des arguments dépendront de l’esprit et des sentiments du destinataire à convaincre, pour plaire et raisonner, on suscite l’intérêt du lecteur par l’exposition de la pensée avec des appuis incontestables, et pour cela on utilise :
La métaphore : qui est un véritable outil de persuasion.
L’exemple : qui ide à la compréhension en fournissant une mise en scène de l’idée, et qui peut avoir aussi une valeur de preuve.
La meilleure façon aussi de toucher au destinataire de l’argumentation est de le faire participer à la découverte de la vérité dont on veut le convaincre.
3. Réfuter l’adversaire :
Vouloir persuader de la vérité de son discours, c’est souvent du même coup contester le discours d’un autre.

 La stratégie argumentative :

 Soit tous les arguments et les raisonnements présentés sont en faveur de la thèse soutenue par locuteur (ex : plaidoyer, apologie). Dans ce cas, la thèse prend est placée en tête du raisonnement et reprise en conclusion.
 Soit la thèse est prise dans une controverse dialoguée (discussion, débat). Dans ce cas, l’exposé de la thèse prend en compte la thèse opposée. On peut alors :
-réfuter les arguments de la thèse opposée en montrant qu’ils ne sont pas pertinents ou trop faibles.
-objecter/opposer à l’adversaire un contre argument qui l’invalide ou retourner l’argument contre lui.
-jouer la concession (donner raison puis rejeter la thèse adverse avec plus de vigueur).
 Soit on vise à disqualifier l’adversaire, à polémiquer. On peut alors :
-raisonner par l’absurde en envisageant les absurdités qui s’ensuivraient si on admettait la thèse adverse.
-enfermer la thèse dans un choix impossible (dilemme).
-utiliser l’ironie pour feindre d’adopter l’opinion de l’autre pour mieux la détruire en la ridiculisant.

 Les différents types d’arguments :

L’analogie :
On compare deux faits, deux situations à d’autres qu’on connaît bien, pour assurer une bonne explication.
L’autorité :
On se réfère à une autorité scientifique, politique, morale, …
La généralisation :
A partir d’un ou deux exemples, on généralise la situation.
La cause :
On n’arrive souvent pas à bien comprendre une situation que lorsqu’on découvre ce qui l’a provoqué.
L’argumentation s’attachera à prouver la cause, ou à prouver que tel effet se produira.
Le dilemme :
Enfermer quelqu’un dans un dilemme, c’est lui prouver que les deux solutions qu’il peut imaginer sont inacceptables, on profite lors de son désarroi pour lui présenter une troisième solution, seule issue à la situation.

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Les textes contenant de l’argumentation sont souvent les textes de :
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 SES fonctions:

Le texte argumentatif a deux fonctions dominantes :
La fonction persuasive :lorsque l’émetteur cherche à convaincre le lecteur, à lui faire partager son point de vue, en faisant appel à ses sentiments (persuader) , ou à sa raison (convaincre)
La fonction polémique : lorsque l’objectif premier de l’émetteur est de ridiculiser celui ou ceux avec lesquels il n’est pas d’accord.

 L’organisation logique du texte argumentatif :

On s’interroge sur la thèse défendue, sur les arguments utilisés à l’appui de cette thèse défendue, ou contre- arguments développés pour la réfuter, et enfin sur les exemples qui viennent illustrer cette argumentation.
a) La thèse :
La thèse peut être formulée dans le texte mais peut aussi être implicite, mais elle doit être formulée clairement. De la même manière, la thèse qui est rejetée est parfois implicite. Exemple : le texte non polémique.
b) Les arguments :
Le nombre d’arguments varie, parfois il y en a qu’un qui est développé. Ces arguments peuvent être présentés sous des formes différentes : accumulation, enchaînement logique… des connecteurs logiques viennent souligner ce que les relie afin de rendre cohérents ces arguments.
c) Les exemples :
Les exemples ont souvent une fonction illustrative. Ile tentent de rendre l’argumentation plus concrète. De temps en temps l’argument est implicite, il dit être déduit de l’exemple.

 La situation d’énonciation :

Qui parle ? A qui ? De quelle manière ?
a. L’énonciateur :
Il faut trouver comment se désigne le locuteur dans le texte : emploi du pronom « je », « nous », ou indéfini « on ».
Il faut s’interroger sur son utilisation de la forme personnelle ou impersonnelle afin de déterminer le degré d’implication du locuteur dans son énoncé. Constater s’il donne uniquement un point de vue personnel ou bien universel ou s’il cherche à y son destinataire.
b. Le destinataire :
A qui s’adresse le locuteur ? Il faut regarder s’il s’agit de quelqu’un en particulier ou d’un public.
On observe alors de quelle manière l’auteur s’adresse lui (ou à eux) et comment il (les) désigne : interpellation, utilisation de pronoms personnels de 2éme personne…
c. L’attitude adoptée par l’auteur :
On s’interroge sur l’emploi des pronoms, le lexique et les procédés rhétoriques qui permettent de définir l’attitude adoptée par l’auteur. Les termes employés peuvent être doux ou désagréables, affectifs ou agressif…de ces termes on peut déduire les sentiments et la position du locuteur, l’utilisation d’un ton neutre ou didactique témoigne de l’objectivité et de la volonté d’expliquer ou d’informer. Le ton polémique, ironique, satirique ou oratoire marque d’avantage la subjectivité.

 La démarche du texte argumentatif :

1. S’impliquer dans son discours :
Le principe de l’argumentation réside dans la conviction de son auteur qui revendique des idées exprimées, notamment à travers :
-Le système d’énonciation :
On recourt fréquemment à la première personne, indice de la présence du locuteur dans la phrase et des propos tenus.
Le locuteur peut se manifester (utilisation de la première et la deuxième personne et présence de marques de jugement), ou pas (utilisation de la troisième personne et des phrases déclaratives).
-Le choix du lexique comme indicateur de degré de certitude :
L’affirmation catégorique (pas de doute possible), on emploie des termes comme « assurément », « sans aucun doute », « il est possible que », … 
L’hésitation qui semble chercher à ne pas contraindre le lecteur, on emploie des termes comme « peut-être », « il est possible que », … 
L’utilisation d’un lexique affectif par lequel le locuteur cherche à capter la sympathie ou l’estime de son public, il utilise pour cela un réseau de termes propre à manifester son émotion, sa sincérité et son attachement à la thèse exposée.
2. S’adapter au destinataire :
Dans le texte argumentatif, le souci de l’auteur est de chercher à convaincre, il doit alors connaître son destinataire et disposer son argumentation en fonction de ce qu’il sait de son caractère.
Le choix de la méthode et celui des arguments dépendront de l’esprit et des sentiments du destinataire à convaincre, pour plaire et raisonner, on suscite l’intérêt du lecteur par l’exposition de la pensée avec des appuis incontestables, et pour cela on utilise :
La métaphore : qui est un véritable outil de persuasion.
L’exemple : qui ide à la compréhension en fournissant une mise en scène de l’idée, et qui peut avoir aussi une valeur de preuve.
La meilleure façon aussi de toucher au destinataire de l’argumentation est de le faire participer à la découverte de la vérité dont on veut le convaincre.
3. Réfuter l’adversaire :
Vouloir persuader de la vérité de son discours, c’est souvent du même coup contester le discours d’un autre.

 La stratégie argumentative :

 Soit tous les arguments et les raisonnements présentés sont en faveur de la thèse soutenue par locuteur (ex : plaidoyer, apologie). Dans ce cas, la thèse prend est placée en tête du raisonnement et reprise en conclusion.
 Soit la thèse est prise dans une controverse dialoguée (discussion, débat). Dans ce cas, l’exposé de la thèse prend en compte la thèse opposée. On peut alors :
-réfuter les arguments de la thèse opposée en montrant qu’ils ne sont pas pertinents ou trop faibles.
-objecter/opposer à l’adversaire un contre argument qui l’invalide ou retourner l’argument contre lui.
-jouer la concession (donner raison puis rejeter la thèse adverse avec plus de vigueur).
 Soit on vise à disqualifier l’adversaire, à polémiquer. On peut alors : 
-raisonner par l’absurde en envisageant les absurdités qui s’ensuivraient si on admettait la thèse adverse.
-enfermer la thèse dans un choix impossible (dilemme).
-utiliser l’ironie pour feindre d’adopter l’opinion de l’autre pour mieux la détruire en la ridiculisant. 

 Les différents types d’arguments :

L’analogie :
On compare deux faits, deux situations à d’autres qu’on connaît bien, pour assurer une bonne explication.
L’autorité :
On se réfère à une autorité scientifique, politique, morale, …
La généralisation :
A partir d’un ou deux exemples, on généralise la situation.
La cause :
On n’arrive souvent pas à bien comprendre une situation que lorsqu’on découvre ce qui l’a provoqué.
L’argumentation s’attachera à prouver la cause, ou à prouver que tel effet se produira.
Le dilemme :
Enfermer quelqu’un dans un dilemme, c’est lui prouver que les deux solutions qu’il peut imaginer sont inacceptables, on profite lors de son désarroi pour lui présenter une troisième solution, seule issue à la situation.

 Genres de textes contenant de l’argumentation :

Les textes contenant de l’argumentation sont souvent les textes de :
Publicité, critique de films, de livres, d’œuvres d’art, éditorial, plaidoyer, dissertation, …

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